la revue de presse de SocialRama
L'essentiel de l'influence marketing et la creator economy dans la presse française et internationale.
Semaine du lundi 14 juin au dimanche 20 juillet 2025
- Lu dans la rubrique Tech&Co du site BFM : Une analyse sur la montée en puissance des superproductions sur YouTube : une course à l’audience qui pousse les créateurs à bout, au risque de mettre en péril leur santé mentale.
Everest, désert, Atlantique, GP Explorer... les youtubeurs sous la pression de la surenchère de contenus
Depuis quatre ans, les créateurs de contenus multiplient les super-productions dignes de la télévision pour satisfaire leur audience et les marques. Revers de la médaille: cette course à la surenchère détruit petit à petit la santé des youtubeurs.
Salomé Ferraris
- Lu dans The Time : Le classement des 100 créateurs de contenus les plus influents en 2025 met en lumière des personnalités issues de 15 pays, actives sur des plateformes comme YouTube, TikTok, Twitch, Instagram ou Substack. Malgré cette diversité, le classement reste largement dominé par des créateurs américains.
The 100 Most Influential Creators of 2025
Find out who made TIME’s inaugural list
- ... et critiqué sur le site de la plateforme Favikon : Un contre-classement pensé comme une alternative au classement du Time, avec une ambition : proposer une sélection véritablement internationale, représentative de la diversité mondiale des créateurs de contenus.
Favikon Top 100 Creators in 2025 (Part 1) - Favikon
Discover Part 1 of Favikon’s Top 100 Creators in 2025. Meet standout influencers across platforms who are leading trends and growing strong online audiences.
Check Brand Deals
- Lu dans Télérama : On y prédit la fin du body positivisme... L'article faisait même la couverture du dernier numéro.
Adieu body positivisme, bonjour culte de la minceur : sur les réseaux sociaux, nos corps sous (mauvaise) influence
Le body positivisme, qui prône l’acceptation de son corps, n’aura pas tenu longtemps. L’idée de la minceur, voire de la maigreur, comme signe de réussite, envahit les réseaux sociaux. Avec des conséquences toxiques, notamment pour les femmes.
Julia Vergely
- ... et trouve son écho dans l'édition papier de Society : Le quinzomadaire part à la rencontre d'un nouveau segment d'influenceuses trumpistes, complémentaires des "tradwives" : plus jeunes, urbaines et ambitieuses. Elles refusent le bodypositivisme des féministes et scandent : "Make America Hot Again"…
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